François Gremaud
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Rosemary Standley embrasse toutes les strates avec maestria et tend la main à ce personnage mythique de façon émouvante. Une réussite totale ! TTTT
Emmanuelle Bouchez, Télérama
Une oratrice prétextant parler de la pièce dont vous lisez actuellement le synopsis, finit par raconter et interpréter l’opéra Carmen de Georges Bizet, d’après le livret de Henri Meilhac et Ludovic Halévy.
De la même façon que dans Phèdre ! Romain Daroles raconte, seul en scène, la célèbre pièce de Racine et que dans Giselle… Samantha Van Wissen raconte le ballet éponyme, Rosemary Standley – accompagnée sur scène par 5 musiciennes – prend seule en charge l’évocation de cette pièce qui a en commun avec les deux autres, outre de porter un prénom féminin et de voir son héroïne mourir sur scène, d’être considérée comme l’un des chefs-d’œuvre de son genre.
Il s’agit du troisième volet de la trilogie que François Gremaud entend consacrer à trois grandes figures féminines tragiques des arts vivants classiques : Phèdre (théâtre), Giselle (ballet) et Carmen (opéra).
Interprétation
Rosemary Standley
Concept et mise en scène
François Gremaud
Musique
Luca Antignani, d’après Georges Bizet
Musicien·nes interprètes
Accordéon: Laurène Dif, Christel Sautaux
Harpe: Tjasha Gafner, Célia Perrard
Flute: Héléna Macherel, Irene Poma
Violon: Sandra Borges Ariosa, Anastasiia Lindeberg, Çiğdem Tuncelli
Saxophone: Livia Ferrara, Bera Romairone, Sara Zazo Romero
Texte
François Gremaud, d’après Henri Meilhac et Ludovic Halévy
Assistanat dramaturgique et musical
Benjamin Athanase
Assistanat de mise en scène
Emeric Cheseaux
Direction technique & création lumière
Stéphane Gattoni – Zinzoline
Régie générale et éclairages en tournée
Julien Frenois, Jean-Pierre Potvliege
Son
Anne Laurin
Collaboration costume
Anne-Patrick Van Brée
Chargé·exs de tournée
Diane Albasini, Benjamin Athanase, Emeric Cheseaux
Administration, production, diffusion
Noémie Doutreleau, Morgane Kursner, Michaël Monney
Un immense merci à Aline Courvoisier et Louisa Mariano
Production
2b company
Coproductions
Théâtre Vidy-Lausanne (CH)
ThéâtredelaCité – CDN Toulouse Occitanie (FR)
Printemps des comédiens, Montpellier (FR)
Espace 1789, Saint-Ouen (FR)
Espace Jean Legendre, Théâtre de Compiègne (FR)
Spectacle accueilli en résidence au TNB, Rennes (FR)
Soutiens
Loterie Romande
Fondation Leenaards
Ernst Göhner Stiftung
Fondation suisse des artistes interprètes SIS
Fondation Françoise Champoud
La 2b company est au bénéfice d’une convention de soutien conjoint avec la Ville de Lausanne, le Canton de Vaud et Pro Helvetia, Fondation suisse pour la culture
Rosemary Standley embrasse toutes les strates avec maestria et tend la main à ce personnage mythique de façon émouvante. Une réussite totale ! TTTT
Emmanuelle Bouchez, Télérama
Avec brio, Rosemary Standley passe d’un registre vocal à l’autre. Dès qu’elle chante, et en particulier les airs du rôle-titre, c’est éblouissant. Un tour de force orchestré par le metteur en scène François Gremaud. Carmen., joyau de Bohême.
Anne Diatkine, Libération
Cette création, en tant que mise en abîme d’un des spectacles les plus mythiques de l’histoire moderne, nous offre une image on ne peut plus réjouissante du théâtre. Une image qui fait du bien à ce dernier.
Judith Sibony, lemonde.fr
Sur un plateau nu, Rosemary Standley, incroyable d’aisance théâtrale et vocale, raconte la genèse de Carmen, passe du chant au récit, en appuyant à peine le trait. La performance est remarquable. Un subtil travail d’adaptation qui clôt une trilogie pleine d’humour.
Thierry Fiorile, Franceinfo:
Carmen., où l’on montre qu’on peut aborder les classiques avec lucidité, liberté et humour, sans altérer leur force et leur beauté.
Frédérique Cantù, Arte
François Gremaud revisite avec brio l’opéra de Georges Bizet porté par la chanteuse virtuose Rosemary Standley.
Nathalie Simon, Le Figaro
Rosemary Standley subjugue, passe de la voix chantée à la voix parlée avec une fluidité bouleversante. Tout ici est d’une éblouissante intelligence.
Armelle Héliot, la Tribune du Dimanche
Point final à une trilogie magnifique qui fait naître la joie au cœur même de la tragédie. Rosemary Standley est une chanteuse éblouissante et une comédienne épatante. Olé cœurs !
Anna Nobili, ELLE
Quelle énergie et quelle finesse de la part de Rosemary Standley, portée par cinq instrumentistes formidables, pour « tenir » cette Carmen ! Une partition délicieusement infidèle à son modèle.
Emmanuelle Giuliani, La Croix
C’est peu dire que le public est conquis. Il applaudit debout et longtemps les interprètes de cet enchantement. Un régal !
Marie-Pierre Genecand, Le Temps
Écrite avec finesse, la pièce déplie un jeu savoureux entre l’original et sa variation contemporaine, entre l’héroïne et la comédienne. Après Phèdre! et Giselle…, un point final à un triptyque de haut vol.
Natacha Rossel, 24 heures
Totalement embarqué par cet impromptu musical qui met en lumière l’être libre qu’est Carmen, le public se lève, applaudit à tout rompre et fredonne avec une joie communicative. La fraîcheur de ce Carmen. fait un bien fou.
Olivier Frégaville-Gratian d’Amore, L’Oeil d’Olivier
On se régale tout le spectacle durant de la modernité du regard que François Gremaud pose sur l’œuvre de Bizet. Flamboyante Carmen, incandécente Carmen, immortelle Carmen ! Viva !
Jérémy Bernède, Midi Libre
Le spectacle, longuement acclamé par le public, sonne comme un coup de poing qui nous fait ressentir la modernité de l’héroïne. Une nouvelle réussite.
Mireille Davidovici, Theatredublog.fr
Du bout des doigts, d’une seule voix, la sublime comédienne et chanteuse Rosemary Standley incarne tout un opéra qui est mis en abîme dans un spectacle innovant. Carmen avec un point signe tout le génie créateur de Gremaud qui parvient une fois de plus à faire revivre avec force et caractère une nouvelle figure féminine tragique et inoubliable qui suscite encore notre admiration.
Stéphanie de Montchalin, lagrandeparade.com
Rosemary Standley. Immenses artiste pour œuvre immense. Grâce à elle, cette œuvre tragique se transforme en hymne à la joie d’être au monde.
Clara Mure, magmaa.fr
Rosemary Standley, une voix incroyable assortie d’une présence majestueuse. La justesse impeccable des mélodies amorcées entre les narrations est une prouesse et le texte concocté par François Gremaud est une pépite. Une joie !
culturieuse.blog