Simone, two, three, four

François Gremaud

«  L’idée que chacun gère à sa manière et avec ses moyens la versatilité du destin, avec une folle inventivité. »

Marie-Pierre Genecand, Le Temps

Simone glisse sur une crotte de chien et s’effondre littéralement sur un trottoir à la sortie d’un café.

Tout en redéroulant les événements qui peu à peu ont mené Simone à la chute, Jean-Claude, Martine et Alejandra – trois protagonistes clé de sa vie – vont tout mettre en œuvre pour sortir Simone de sa mauvaise passe.

Interprétation
Catherine Büchi
Pierre Mifsud
Léa Pohlhammer

Avec la participation de
Anne-Catherine Savoy

Conception, mise en scène, texte
François Gremaud

Scénographie
Denis Savary

Lumières
Laurent Junod

Son
Christophe Bollondi

Musique
Yulungo

Construction décors
Atelier du Pirate
Martial Lambert

Administration, production, diffusion
Michaël Monney

Coproduction
2b company
Nuithonie, Givisiez (CH)
Théâtre 2.21, Lausanne (CH)

Soutiens
Canton de Fribourg – Encouragement de la culture
Loterie Romande
Ernst Göhner Stiftung

La 2b company est au bénéfice d’une convention de soutien conjoint avec La Ville de Lausanne, le Canton de Vaud et Pro Helvetia, Fondation suisse pour la culture.

2009

  • 22 — 26 avril
    Nuithonie, Villars-sur-Glâne / Fribourg (CH)
  • 29 avril — 17 mai
    Théâtre 2.21, Lausanne (CH)

2010

  • 28 — 30 mai
    Théâtre du Loup & Comédie de Genève (CH)

2011

  • 7 avril
    Salle CO2, Bulle / La Tour (CH)

2012

  • 12 — 14 août
    far° festival des arts vivants, Nyon (CH)

2013

  • 15 — 17 mai
    Centre Culturel Suisse, Paris (FR)

François Gremaud sait tenir le cap entre distance due à l’humour et à l’exagération et adhésion émotionnelle. La réussite de la pièce tient à la justesse avec laquelle chacun des comédiens incarne son personnage. Ils pourraient être ridicules, ils sont touchants, à la fois comiques et attachants.
Dominique Hartmann, Le Courrier

Les comédiens, tous incroyables, jouent le jeu fascinant du bord du gouffre, de l’équilibre entre le rire et les larmes, de l’émotion qui ne tient qu’à un fil. Tout est dans la finesse, la pièce lève des  ressorts affectifs ténus, sans verser dans le gros rire ni les violons. C’est du grand art de maîtriser cette frontière si fragile.
Elisabeth Haas, La Liberté